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Platon : La République

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La République (grec ancien : Πολιτεία , Politéia) a été écrite entre 380 et 370 av. J.-C. A. E. Taylor affirme que La République était déjà écrite en 388 (Taylor 2009), et G. C. Field suggéra la date de 375 av. J.-C. (Hornblower, Spawforth, et Eidinow 2012). Le titre La République est dérivé du latin, étant attribué à Cicéron, qui l’appelait De re publica (Sur les affaires publiques), ou même De republica, créant ainsi une confusion quant à sa véritable signification. La République est considérée comme faisant partie intégrante du genre littéraire utopique. Le deuxième titre, Peri dikaiou (περὶ δικαίου, Sur la justice), a peut-être été inclus plus tard.

La République n’est que la troisième partie d’un projet plus vaste qui devait inclure une histoire idéale d’Athènes, ainsi qu’une philosophie politique et physique. Le dialogue a lieu au Pirée, dans la maison de Céphale à Syracuse (Platon 1848).

Le livre est divisé en 10 livres : le premier traite du sujet de la justice ; dans les deux livres suivants Platon expose sa théorie de « l’état idéal » ; les quatrième et cinquième livres traitent de la relation entre les choses et les Idées, entre le monde sensible et suprasensible (hyperuranion) ; les livres six et sept décrivent la théorie de la connaissance ; les huitième et neuvième livres parlent de l’État et de la famille ; et le dernier livre examine l’idée de l’immortalité de l’âme avec le Mythe d’Er.

Des études stylométriques suggèrent que le premier livre a été écrit antérieurement et séparément des neuf autres (Brandwood 1992, 96‑97). Dümmler suggère qu’il a été initialement publié comme un dialogue autonome (Dümmler 1889) en vue d’une suite ultérieure (Szlezák 1992, 368). Charles Kahn souligne le lien étroit entre les différents livres de la République (Kahn 2008).

Le thème central du livre est la justice (Brickhouse et Smith 2022), argumentée à l’aide de plusieurs théories platoniciennes, dont le mythe allégorique de la caverne, la doctrine des idées, la dialectique, la théorie de l’âme et le projet d’une ville idéale. La République fait référence à ce qu’on appelle φιλοσοφία περὶ τὰ ἀνθρώπινα (« philosophie des choses humaines »), présentée comme une œuvre organique, encyclopédique et circulaire, mettant l’accent sur la relation entre l’universel et le particulier.

Il existe plusieurs interprétations de l’architecture de la République, dont l’hypothèse d’une « composition concentrique », d’une structure « voûtée », de « grandes voûtes » où la justice est le centre de l’équilibre, ou d’une structure « miroir » (Mathieu 2014).

Benjamin Jowett met en lumière plusieurs aspects du livre, qu’il considérait comme les plus importants (Jowett 1892) : (1) le double caractère de La République, un État grec et un royaume de philosophes, les paradoxes de la République comme les appelait Morgenstern (propriété commune, familles, règne des philosophes, analogie entre l’individu et l’État), le sujet de l’éducation, les différences essentielles entre la politique ancienne et moderne suggérées par la République, la comparaison de La République avec Le Politique et Les Lois, l’influence de Platon sur ses imitateurs, et la nature et la valeur des idéaux politiques et des idéaux religieux.

Richard Lewis Nettleship considère La République comme un livre de philosophie morale (Nettleship 1958), dans lequel la vraie question est Comment vivre au mieux, inséparable de la question : Quel est le meilleur ordre ou organisation de la société humaine ?

Philip Allott déclare que La République concerne trois choses codépendantes et co-déterminantes : « l’être humain individuel, la société humaine et l’univers – Moi et Nous et Tous », développant « une philosophie de ce que nous pensons savoir (épistémologie) et une philosophie de ce que nous choisissons de faire (la moralité) ». (Allott 2011)

De nombreux philosophes ont vu dans La République une première esquisse de socialisme (Plato et Stelli 2007), soulignant les aspects communautaires et anti-individualistes mis en évidence dans le concept de bien collectif et dans l’idée de communauté des biens, femmes et enfants.

Popper a entrevu dans l’état idéal du philosophe de La République le prototype de l’État autoritaire moderne avec la structure hiérarchique de la société, le culte des gouvernants et la pureté de la race. Il considère que La République « était entendue par son auteur non pas tant comme un traité théorique, mais comme un manifeste politique d’actualité » (Popper 2020, vol. 1: 162).

La République est considérée par de nombreux universitaires comme le plus grand texte philosophique jamais écrit (Gibbons 2001), étant le livre le plus étudié dans les meilleures universités (Ha 2016) (Jackson 2016).

Martin Luther King, Jr., a déclaré que La République serait le seul livre qu’il emporterait sur une île déserte avec la Bible (Sharpe 2019).

Caractères

Socrate : philosophe, professeur de Platon, qui occupe la plupart des dialogues, développant le thème de la cité idéale.

Thrasymaque : sophiste, qui initie la discussion, arguant d’abord que la justice est « le profit du plus fort ».

Céphale : propriétaire âgé de la maison abritant le dialogue ; il soutient que la justice et le bonheur dans la vie consistent dans l’accumulation de biens matériels.

Glaucon : élève de Socrate qui l’accompagne depuis Céphale

Polémarque : élève de Socrate, fils de Céphale

Adimante : élève de Socrate.

Clitophon : homme politique athénien.

Résumé

Livre I : Socrate arrive à la maison de Céphale, où il entame des discussions sur la vieillesse et présente son propre modèle de bonheur et de justice. Polémarque exprime également son opinion sur la justice et la justice comme un devoir, faire du bien aux amis et du mal aux ennemis. Thrasymaque exprime son opinion sur la justice politique, arguant que la justice est pratiquement l’utilité de ceux qui sont plus forts. Socrate intervient en disant que si ceux qui étaient au pouvoir étaient des tyrans, ils nuiraient à tout le monde, et ils pourraient tous être contrôlés par l’injustice. La justice est une vertu de l’âme, comme le dit Socrate, contredisant ainsi Thrasymaque qui voit l’injustice comme une vertu.

Livre II : Glaucon intervient en parlant du droit de vivre et des catégories de bien, affirmant que la justice humaine consiste à obtenir ses propres avantages. Une injustice impunie requiert la force du pouvoir. La vraie justice pour l’homme du commun serait une « injustice déguisée ». Adimante intervient, déclarant que la justice n’est recherchée que pour la réputation qu’elle donne à l’homme juste. Socrate propose l’analyse de la justice dans une « cité idéale », en partant des origines, du noyau primitif, un simple village de paysans avec des tâches spécifiques qui s’agrandit ensuite et a besoin de sécurité, et plus tard une conscience du peuple qui consiste en la connaissance et l’éducation, exposant les tâches de chaque citoyen.

Livre III : Présente les devoirs et la formation artistique des gardes de la ville, qui ne doivent pas être corrompus par la poésie et la littérature. Socrate distingue trois types de poésie : imitative, narrative et mixte. Le mensonge ne devrait être réservé qu’aux dirigeants ayant l’intention de faire le bien (« noble mensonge »). Les gardiens doivent se méfier de l’imitation et ne poursuivre que des actions vertueuses. Leur éducation se concentre sur la gymnastique et la médecine, et le domaine juridique, pour un corps sain et une âme propre. Ainsi, la ville qui, un peu plus tôt, était considérée comme dépendante de la paresse, sera purifiée. Seuls les artistes et les ouvriers qui créeront de belles choses devraient être admis dans la ville. Adimante et Socrate discutent ensuite de la parole utile et de la parole imitative, du problème de l’amour et de la médecine.

Livre IV : Reprendre la question de la justice entre citoyens. Adimante demande si les gardes sont satisfaits des contraintes qui leur sont imposées, et Socrate déclare que tout le monde dans la ville est satisfait des tâches qu’ils ont, avec une éducation appropriée. Les principales vertus sont la sagesse, le courage, la tempérance, auxquelles s’ajoute la justice, la somme des trois vertus. La sagesse (spécifique aux dirigeants) implique une connaissance approfondie et la capacité de donner de bons conseils. Le courage est une compétence propre aux soldats, pour protéger en permanence le jugement sur les choses à craindre et sur elles. La tempérance (propre aux travailleurs) implique que les citoyens ne doivent être ni trop riches (car ils cesseront de travailler) ni trop pauvres. Plus tard, Socrate analyse les types d’âme, faisant une analogie avec les chevaux noirs et blancs de la ville, conduits par un cocher modérateur.

Livre V : À la demande d’Adimante, de Thrasymaque et de Glaucon de parler des communautés de femmes et d’enfants, Socrate décrit les relations familiales dans la cité : « les femmes de nos guerriers seront toutes communes à tous : aucune d’elles ne vivra spécialement avec aucun d’eux ; de même les enfants seront communs, et les parents ne connaîtront pas leurs enfants, ni ces derniers leurs parents ». Les mariages entre « meilleurs » citoyens favorisent le bien de la cité, et les enfants doivent être partagés, soutenant la fraternité commune. Il poursuit en parlant de l’importance de la philosophie pour la politique et en faisant une comparaison entre l’individu et la ville, tous deux présentés comme des corps unifiés. Le philosophe doit pratiquer la recherche constante de la vérité, étant ainsi celui qui fait le moins d’erreurs, donc le meilleur représentant du politique pour la cité idéale.

Livre VI : La discussion sur le sort des philosophes et des sophistes se poursuit, arguant que le philosophe est le mieux placé pour gouverner avec sagesse. Socrate fait une analyse de la politique grecque. Il souligne que les gouvernements ont toujours méprisé le philosophe, à travers l’allégorie du navire, dans laquelle le timonier est un vieil homme aveugle et sage qui est constamment interpellé par les personnes à bord qui veulent régner. Le roi-philosophe assure le salut de la cité. Il fait l’analogie entre l’idée du bien comme la plus haute connaissance et le soleil qui, dans sa perfection, brille de sagesse. Tracez ensuite une ligne avec quatre segments : images sensibles, objets sensibles, entités mathématiques et Idées, qui peuvent être connues par l’imagination (εἰκασία), la foi (πίστις), la raison discursive (διάνοια) et l’intelligence (νόησις), respectivement.

Livre VII : Socrate évoque le mythe de la caverne pour nous faire comprendre l’obscurantisme de l’ignorance de l’homme, dont il doit pouvoir se libérer pour trouver la véritable « lumière » de la sagesse. Le philosophe brise les chaînes et émerge de la caverne dans le monde extérieur, métaphore de la dialectique ascendante, comprenant ainsi que l’intérieur de la caverne n’est qu’un reflet déformé du monde réel qui est le monde intelligible. Après s’être rendu compte de l’existence d’un autre monde meilleur et plus vrai, Socrate poursuit la formation du philosophe-roi, déclarant qu’il doit poursuivre son étude des mathématiques, de la géométrie et de la dialectique. Le philosophe est celui qui s’élève à la contemplation de l’idée du Bien, et c’est pourquoi il en est le meilleur gardien possible.

Livre VIII : Ici, Socrate fait l’analyse la plus profonde du bonheur des justes et des injustes. Il parle des principales formes de gouvernement : l’aristocratie, la timocratie, l’oligarchie, la démocratie et la tyrannie (la pire). Il favorise l’aristocratie au détriment de l’oligarchie et de la démocratie, qui au fil du temps deviennent corrompues et conduisent à de pires formes de gouvernement, comme la timocratie et la tyrannie. Dans l’oligarchie, les pauvres vont se révolter contre les riches et construire un régime démocratique qui promeut le pouvoir de faire ce que l’on veut. Mais la liberté et l’égalité amèneront l’agitation, les enfants ne respecteront plus leurs parents, et les paresseux et les profiteurs apparaîtront, et enfin l’anarchie qui favorisera le tyran qui se présentera comme un protecteur. La conclusion de Socrate est qu’en raison de l’impulsivité de l’âme humaine et de la corruption, l’intervention du philosophe est nécessaire.

Livre IX : Socrate insiste sur l’idée que le tyran, bien qui règne par la peur, est lui-même esclave de ses propres passions. Socrate détaille la métaphysique des plaisirs, louant les bons plaisirs rationnels du philosophe, supérieurs aux deux autres parties irrationnelles de l’âme. Socrate récapitule alors : le peuple sera plus heureux dans l’aristocratie, moins dans la timocratie, et moins dans l’oligarchie, et ainsi de suite jusqu’à la démocratie et la tyrannie. Il y a trois parties dans l’âme : la partie rationnelle ou l’intellect, la partie qui recherche la bravoure et l’honneur, et la partie inférieure qui ne recherche que le plaisir. Il met en évidence la différence entre le philosophe régnant et le tyran, et fait appel à une allégorie en divisant l’âme en un monstre polyphonique, un lion et enfin un homme qui, grâce au lion, domine le monstre, garant de la justice.

Livre X : Le dernier livre traite de la poésie et de l’imitation. Le poète, et l’art en général, imite les objets sensibles, ils génèrent donc une illusion basée sur des passions cachées qui contaminent l’âme et en font de mauvais citoyens. De tels artistes seraient donc interdits dans la cité idéale, mais les dithyrambes (éloge des dieux) et les épopées doivent être préservés. Socrate réaffirme l’immortalité de l’âme. Les vices le blessent, mais ils ne le détruisent pas. Enfin, il expose le « mythe d’Er » en Pamphylie, qui a été retrouvé mort après une bataille mais a été ressuscité au salon funéraire parce qu’il avait été ordonné par les juges suprêmes d’être le messager du futur. La pureté de l’âme ne peut être obtenue qu’après s’être libérée des limitations du corps humain, méritant seulement alors la récompense après la mort, c’est-à-dire la vie éternelle dans la contemplation de la vérité.

L’unité interne de ce dernier livre a souvent été remise en question, étant vu comme un appendice aux neuf autres livres (Babut 1994), comme étant écrit plus tard aux autres livres de La République, ou encore il est l’œuvre d’un éditeur qui a imité l’œuvre de Platon.

Il existe de nombreuses interprétations de La République en la divisant ainsi selon les sujets traités, une des classifications les plus connues de Bertrand Russell, dans l’Histoire de la philosophie occidentale (Russell 2013, liv. I, part 2, cap. 14) :

  1. Livres I à V : Définir la justice ; communautés idéales (« utopie ») ; éducation des tuteurs ;
  2. Livres VI – VII : Leaders philosophiques ; le mythe de la grotte ; la théorie des Formes ; régimes politiques ;
  3. Livres VIII-X : Formes pratiques de gouvernement.

Jowett met en évidence cinq divisions naturelles de la République, comme suit :

  1. Livre I début – II 367 : Morale de la vie quotidienne et théories de l’époque.
  2. Livre II 368 – V 471 : Précisant le système impliqué dans l’existence de l’être moral.
  3. Livre V 471 – à la fin du livre VII : La morale idéale ou religion philosophique et son fondement réel ou métaphysique.
  4. Livres VIII – IX : Vérification du lien entre « le bien-faire et le bien-être, par des variations concomitantes du mal-faire et du mal-être ».
  5. Livre X : La corroboration psychologique de la « critique portée sur l’apparence irréelle, soulignant le lien entre l’irréel dans la cognition et dans le sentiment ». (Bosanquet 1895)

Bibliographie

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  • Babut, Daniel. 1994. « L’unité du livre X de La République et sa fonction dans le dialogue ». MOM Éditions 24 (1): 235‑58.
  • Bosanquet, Bernard. 1895. A Companion to Plato’s Republic for English Readers. Macmillan and Company.
  • Brandwood, Leonard. 1992. « Stylometry and chronology ». In The Cambridge Companion to Plato, édité par Richard Kraut, 90‑120. Cambridge Companions to Philosophy. Cambridge: Cambridge University Press. https://doi.org/10.1017/CCOL0521430186.003.
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  • Sharpe, Matthew. 2019. « Guide to the Classics: Plato’s Republic ». The Conversation. 2019. http://theconversation.com/guide-to-the-classics-platos-republic-127724.
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Sfetcu, Nicolae, « Platon : La République », Telework (3 mars 2022), DOI: 10.13140/RG.2.2.26103.91040, URL = https://www.telework.ro/fr/platon-la-republique/

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